Les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite et le Qatar se pressent pour prendre le contrôle des ports aux embouchures du canal de Suez. Au moment où l'Egypte privatise la gestion de ces infrastructures, ses parrains du Golfe se positionnent sur ce passage où transite 10 % du commerce maritime mondial.
ExxonMobil s'est donné jusqu'à fin novembre pour conclure la vente des 40 % qu'elle détient dans les blocs offshore peu profond OML 67, 68, 70 et 104 à la junior Seplat.
Une commission conjointe Union européenne-Union africaine (UE-UA) doit se tenir le 30 novembre à Bruxelles.
La Guinée équatoriale s'apprête à nommer un nouvel ambassadeur en France. Une mission hautement sensible alors que les relations entre Paris et Malabo sont électriques depuis la condamnation du vice-président Teodorin Obiang Nguema dans le dossier dit des "Biens mal acquis".
Le président Ali Bongo est attendu à Londres le 18 octobre pour le flag raising, la cérémonie qui marque l'entrée du pays dans le Commonwealth, que Libreville avait officiellement rejoint lors du sommet de Kigali, en juin.
Construit à l'est du Caire, le mégaprojet du président égyptien Abdelfattah al-Sissi tourne au ralenti faute d'un nombre suffisant d'acheteurs. L'inauguration de cette ville nouvelle en plein désert a déjà été plusieurs fois repoussée.
La mise en service de la mine de zinc et de plomb de Tala Hamza, près de Béjaïa, devait démarrer le 1er septembre. Mais de nouvelles oppositions se sont fait jour parmi les habitants de cette zone, dépourvus d'actes de propriété valides.
Le gouverneur de la Central Bank of Kenya, Patrick Njoroge, s'oppose au projet de relèvement du montant minimal des transactions que doivent lui signaler les banques privées. Il s'inquiète pour la crédibilité du secteur financier du pays.
Après l'amiral Alexander Ostrikov, chargé en début d'année par le [...]
Premiers financeurs de la campagne électorale en cours au Lesotho, les gangs basotho tirent la plupart de leurs revenus de l'exploitation illégale de mines d'or désaffectées en Afrique du Sud. Ils menacent aujourd'hui les sites en activité, alimentant les tensions entre Pretoria et Maseru.
Les avocats du groupe sud-africain Amari Resources ont promptement répondu à la demande de non-lieu formulée par l'Etat zimbabwéen. Harare refuse toujours de reconnaître sa défaite devant la cour suprême zambienne, qui l'oblige à indemniser le minier pour l'annulation de permis de nickel et platine.