L'éventualité d'une offensive du M23 sur Bukavu préoccupe le Burundi, qui dépend des devises et ressources en provenance de RDC. L'armée burundaise redoute une confrontation militaire avec le mouvement rebelle soutenu par le Rwanda, de même qu'avec des groupes armés opposés à l'administration Ndayishimiye.
Avec une prudence marquée, l'Afrique du Sud tente d'établir le contact avec le nouveau pouvoir syrien, dominé par le groupe Hayat Tahrir al-Cham (HTC). Jusqu'alors, Pretoria avait été l'un des principaux soutiens africains du régime de Bachar al-Assad.